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50e anniversaire de la Marche Verte: le sénateur Christian Cambon organise au Sénat la projection d’un documentaire retraçant l’épopée du 6 novembre 1975

Le président du Groupe d’amitié France-Maroc au Sénat, Christian Cambon, organise le 6 novembre 2025, date du 50e anniversaire de la Marche Verte, une projection d’un documentaire retraçant cette épopée historique qui a conduit à la libération des provinces du sud du Maroc du joug de la colonisation espagnole.

La projection de ce documentaire au Sénat français, avec la contribution de l’ambassade du Maroc à Paris, sera suivie d’un débat.

Cet évènement vient conforter la position claire de la France exprimée par son président Emmanuel Macron, qui a réaffirmé le 29 octobre 2024 devant le Parlement du Maroc que « le présent et l’avenir » du Sahara « s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine ».

Le 6 novembre 1975,  350.000 Marocains ont marché pour libérer pacifiquement pour libérer le Sahara marocain suite à l’appel solennel de Feu le Roi Hassan II de mettre fin à une occupation espagnole qui durait depuis 1884.

« Le monde entier a reconnu que le Sahara était en notre possession depuis très longtemps. Le monde entier a reconnu qu’il existait des liens entre le Maroc et le Sahara qui n’ont été altérés que par le colonisateur (…). Il ne nous reste qu’à entreprendre une Marche pacifique du Nord au Sud (…) pour nous rendre au Sahara et renouer avec nos frères », avait lance souverain le 16 octobre 1975.

Depuis, la dynamique internationale impulsée par le Roi Mohammed VI des années durant en faveur de la marocanité du Sahara et en appui à l’Initiative d’autonomie, proposée par le Maroc en 2007, ne cesse de se renforcer traduisant ainsi le consensus de la communauté internationale pour mettre fin à ce différend régional, dans le cadre de la souveraineté nationale et de l’intégrité territoriale du Royaume.

Cette  dynamique internationale connait des évolutions majeures, marquées par l’élargissement du cercle d’appuis à la marocanité du Sahara et au plan d’autonomie marocain.

Désormais, cette dynamique internationale représente une réalité incontournable et un message clair aussi bien à l’ONU qu’aux autres parties appelées aujourd’hui plus que jamais à assumer leurs responsabilités pour mettre fin à ce différend artificiel qui menace la stabilité du Maghreb et sa prospérité.

 

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